Corps franc Simon ALIAS : Lieutnant Simon, Servant,Type Action / R.F.I : Corps Franc / Armée secrète / Rattachement : A.S. État-major départemental / Commandement : Servant François, Claude / Communes : Thorens-Glières / Allonzier-la-Caille / Chêne-en-Semine / L’inéluctable descente aux enfers du corps franc Simon « L’opération de trop. » C’est ainsi que Claude Barbier qualifie l’action de François Servant et de ses hommes, le 22 janvier 1944 au niveau du pont de la Caille, qui se solda par des rafales de mitraillette en direction du véhicule transportant le sous-préfet de Saint-Julien. Ce dernier s’en sortit indemne, mais ce fut pour le corps franc Simon le début d’une fin à l’image de son existence : courte mais intense. Pour la préfecture, la coupe était pleine. Dès le lendemain de l’attaque contre le sous-préfet Guillaume, François Servant est arrêté et blessé en tentant de s’échapper dans le secteur de la Semine, où a déménagé le corps franc Simon depuis Thorens-les-glières. Tom Morel essaie de faire enlever Simon de l’hôpital d’Annecy, où il a été admis. En vain. La plupart des autres membres du corps franc Simon sont arrêtés à Saint-Martin-Bellevue le 24 janvier, torturés puis exécutés ou déportés. François Servant a été déclaré mort le 29 janvier 1944, mais son corps ne fut jamais retrouvé. Cinq jours plus tard, François Servant est enlevé par deux policiers allemands. Son corps ne fut jamais retrouvé, et la tombe à son nom sur le site de Morette est vide. « Mon hypothèse est que Simon, sur son brancard, essaie d’échapper aux deux policiers allemands qui l’entourent dans une forme de quasi-suicide, imagine l’historien virien. Son corps a probablement été balancé dans un fossé entre Annecy et Lyon. L’objectif des Allemands était sans doute de lui soutirer des informations sur la Résistance. » (Mémorial pour l’oppression 3808 W1504) Portrait de maquisardAlfred AckermannRésistantRoger CarrierRésistantRené CherpitelMilitaireJules DebartRésistantMaurice DestembergRésistantJean GérardRésistantUrbain LedouxRésistantPaul MunckRésistantBruno PerinoRésistantGeorges PerrinRésistantMaurice RabutRésistantFrançois ServantRésistantRaymond VellutRésistantRaymond VerdelRésistant À lire sur le siteSaint-Martin-Bellevue — Il y a déjà 80 ans, les hommes du corps franc Simon ont connu une fin tragique79e anniversaire de la mort des hommes du Corps Franc-Simon78e Commémoration du corps franc SimonSaint-Martin-Bellevue — Monument Corps franc SimonArticles externesSaint-Eustache — la tragédie de la saint-Sylvestre 1943 Les maquis
L’inéluctable descente aux enfers du corps franc Simon « L’opération de trop. » C’est ainsi que Claude Barbier qualifie l’action de François Servant et de ses hommes, le 22 janvier 1944 au niveau du pont de la Caille, qui se solda par des rafales de mitraillette en direction du véhicule transportant le sous-préfet de Saint-Julien. Ce dernier s’en sortit indemne, mais ce fut pour le corps franc Simon le début d’une fin à l’image de son existence : courte mais intense. Pour la préfecture, la coupe était pleine. Dès le lendemain de l’attaque contre le sous-préfet Guillaume, François Servant est arrêté et blessé en tentant de s’échapper dans le secteur de la Semine, où a déménagé le corps franc Simon depuis Thorens-les-glières. Tom Morel essaie de faire enlever Simon de l’hôpital d’Annecy, où il a été admis. En vain. La plupart des autres membres du corps franc Simon sont arrêtés à Saint-Martin-Bellevue le 24 janvier, torturés puis exécutés ou déportés. François Servant a été déclaré mort le 29 janvier 1944, mais son corps ne fut jamais retrouvé. Cinq jours plus tard, François Servant est enlevé par deux policiers allemands. Son corps ne fut jamais retrouvé, et la tombe à son nom sur le site de Morette est vide. « Mon hypothèse est que Simon, sur son brancard, essaie d’échapper aux deux policiers allemands qui l’entourent dans une forme de quasi-suicide, imagine l’historien virien. Son corps a probablement été balancé dans un fossé entre Annecy et Lyon. L’objectif des Allemands était sans doute de lui soutirer des informations sur la Résistance. » (Mémorial pour l’oppression 3808 W1504) Portrait de maquisardAlfred AckermannRésistantRoger CarrierRésistantRené CherpitelMilitaireJules DebartRésistantMaurice DestembergRésistantJean GérardRésistantUrbain LedouxRésistantPaul MunckRésistantBruno PerinoRésistantGeorges PerrinRésistantMaurice RabutRésistantFrançois ServantRésistantRaymond VellutRésistantRaymond VerdelRésistant À lire sur le siteSaint-Martin-Bellevue — Il y a déjà 80 ans, les hommes du corps franc Simon ont connu une fin tragique79e anniversaire de la mort des hommes du Corps Franc-Simon78e Commémoration du corps franc SimonSaint-Martin-Bellevue — Monument Corps franc SimonArticles externesSaint-Eustache — la tragédie de la saint-Sylvestre 1943 Les maquis
Saint-Martin-Bellevue — Il y a déjà 80 ans, les hommes du corps franc Simon ont connu une fin tragique79e anniversaire de la mort des hommes du Corps Franc-Simon78e Commémoration du corps franc SimonSaint-Martin-Bellevue — Monument Corps franc Simon