Le 7 mai 1954, la défaite de Diên Biên Phu marquait la fin de l'Indochine française, et d'une guerre déclenchée huit ans plus tôt. Des survivants français racontent leur expérience. Le camp retranché français de Diên Biên Phu tombait après 57 jours de résistance désespérée dans les mains du Vietminhs, l'armée de libération du Viêt-nam. Cette défaite marquait la fin de la guerre française d'Indochine commencée 8 ans plus tôt, et le début de la décolonisation. Au niveau international, Diên Biên Phu a été un événement emblématique, l'un des plus forts points de tension de la guerre froide. Or Diên Biên Phu était une bataille perdue avant même qu'elle ne commence. Ce film prend le parti de donner la parole aux survivants français de cette bataille
Le 25 juin 1950 éclate la guerre de Corée, conflit majeur de la guerre froide et l'un des plus meurtriers de la seconde moitié du XXe siècle. Cette guerre constitue un premier test pour l'Organisation des Nations unies (ONU) qui, pour restaurer le droit, fait appel à une force militaire internationale fournie par les États membres. L'engagement de la France, avec la participation d'un bataillon de volontaires qui s'illustra à maintes reprises, ouvre la voie aux opérations extérieures (OPEX) et scelle notre partenariat avec la Corée du Sud.
Clip hommage diffusé lors de la cérémonie du 25 septembre 2021, qui rendait hommage aux harkis et aux autres membres des formations supplétives qui ont combattu aux côtés de l’armée française pendant la guerre d’Algérie de 1954 à 1962. Les images de ce clip sont issues des fonds d’archives de l'ECPAD et sont ponctuées d’interventions d’un historien, d’un ancien des SAS (section d’administration spécialisée) et d’un harki.
Le 21 juin 1943, la Gestapo décapite la Résistance à Caluire, en banlieue lyonnaise. Réunis dans la maison du docteur Dugoujon, Jean Moulin et les cadres de l’"armée des ombres" ont été trahis. Voilà plusieurs mois que les services allemands multiplient les coups de filet. Ce jour-là, la prise est de taille.
Alors que Moulin et ses six compagnons embarquent dans les Traction des nazis, René Hardy, alias "Didot", parvient à s’échapper : il est le seul que les hommes de Klaus Barbie n’ont pas menotté, et leurs tirs le frôlent à peine. Capturé dans la foulée par la police française et remis à la Gestapo, il s’évade de façon spectaculaire, un bras dans le plâtre.