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Jules Declercq, citoyen belge, rejoignit la résistance haut-savoyarde et on le retrouva dans le chalet de la Combe à Cormet, au-dessus de Gruffy (Haute-Savoie) avec une douzaine de ses camarades, sous le nom de Jean Leclerc.
Le 11 décembre 1943, la Gestapo de Lyon, derrière Klaus Barbie, renforcée par la troupe, investit le village et monta directement au chalet du fait de la dénonciation par un Grufféen habitué au marché noir. (Cette dénonciation est confirmée par le procès-verbal de gendarmerie trouvé dans le dossier 3808 W 1461 du fonds du Mémorial de l’oppression). Pierre Valençot fut tué sur le pas de la porte et Jules Declercq n’eut pas le temps de s’enfuir comme tous les autres. Prisonnier, il fut emmené à Alby-sur-Chéran (Haute-Savoie) pour être confronté à Octave Magnin, le responsable du groupe. Ils y furent exécutés tous les deux.
Cette opération nazie fit quatre morts dont le boulanger Joseph Dalby, de Gruffy. Une stèle a été érigée sur l’emplacement où se trouvait le chalet occupé par les réfractaires résistants. Il est reconnu « Mort pour la France », (dossier n° 7179 étrangers).
À lire sur le site
Alby-sur-Chéran — Stèle commémorative Octave Magnin, Jules Declercq
La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.
Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.
Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.