Le monument Sttèle érige par la commune de Saint-Eustache à ses enfant dépporés victimes de la Bbarbarie Nazie 1939 - 1945, et notement lors de la tragédie du 31 décembre 1943. le 31 décembre 1943, un acte de représailles vise le village de Saint-Eustache, près du lac d'Annecy. Des fermes sont pillées, 28 hommes sont arrêtés dont 24 vont être déportés parmi lesquels 17 ne reviendront pas. Commémorationle 31 décembre 1943, un acte de représailles vise le village de Saint-Eustache, près du lac d'Annecy. Des fermes sont pillées, 28 hommes sont arrêtés dont 24 vont être déportés parmi lesquels 17 ne reviendront pas.À partir de l´armistice du 24 juin 1940, une partie de la Haute-Savoie est occupée par l'armée italienne. En représailles du débarquement allié en Afrique du Nord le 8 novembre 1942, l'armée italienne occupe la zone libre sur la rive gauche du Rhône. Mais les évènements qui s´ensuivent, avec le débarquement allié en Sicile et la déroute de l'armée italienne, conduisent à l´arrestation de Mussolini le 24 juillet 1943. Le 3 septembre 1943 l´armistice entre les Italiens et les Alliés est signé en secret et n'est dévoilé que le 8 septembre. L'armée allemande reprend le contrôle des territoires qu'occupaient les Italiens avant l'arrivée des Alliés. La Savoie et la Haute-Savoie passent de l'occupation italienne à l'occupation allemande à partir de septembre 1943. Le 22 décembre 1943 en Haute-Savoie se met en place un réseau de résistance et les maquisards se mettent en relation pour faire des transits d'armes et de munitions. C'est dans cette optique qu'un groupe de résistants (Corps franc Simon) décide de convoyer un lot d'armes à Thorens stockées à Saint-Jorioz où se trouve le quartier général de l'Armée Secrète. Le transfert doit se faire au Moulin de Lavray, commune de Saint-Eustache. Les hommes se réunissent pour le chargement de la cargaison qui se termine aux alentours de midi le 22 décembre 1943. Ils sont surpris au déjeuner par un militaire allemand et un interprète civil. Après quelques propos échangés, l'interprète trouve une grenade dans une veste et l'Allemand veut téléphoner. Des coups de feu s'ensuivent et les deux intrus sont tués, de même qu'un chauffeur qui attendait dans leur voiture. Les résistants cherchent à cacher les trois cadavres et la voiture qui porte les marques d'une fusillade, mais ils échouent, croyant à tort à une embuscade. La voiture et les dépouilles sont donc abandonnées dans un ravin le long de la route de Saint-Jorioz. Tout le monde s'attend désormais à de féroces représailles. Les faits du 22 décembre se terminent là. Après l'altercation au moulin de Jean Armataffet les résistants se dépêchent de partir. Le véhicule dans le ravin ne passe pas inaperçu et le soir même sa présence est signalée à la gendarmerie qui commence une enquête. Les autorités allemandes sont prévenues et viennent retirer les corps. L'enquête continue et le lien est fait avec les habitants de Saint-Eustache. Jean Armataffet qui est allé faire une déclaration à la gendarmerie, est arrêté et incarcéré à la prison d'Annecy Sentant venir les représailles l'organisation décide de retirer les armes cachées afin d'incriminer le moins possibles ceux qui les ont camouflé. Le curé et le maire de Saint-Eustache tentent toutefois de prévenir le pire. Le maire est arrêté pour des interrogatoires et sera libéré après coup. Mais la terrible dynamique de la criminalité nazie est en marche et ne s'arrêtera pas. Le 31 décembre 1943 Le 31 décembre, les troupes allemandes se déploient dans la commune de Saint-Eustache à la levée du jour et se postent en grande majorité à la fruitière du Cruet afin d'appréhender tous les paysans venus déposer leur lait. La fruitière est un lieu stratégique étant donné que chaque paysan de la commune vient déposer son lait quotidiennement, c'est le lieu idéal pour une capture de grande envergure. D'autres contingents de soldats se rendent directement dans des fermes pour arrêter les hommes et piller. Bientôt la quasi-totalité des hommes de la commune sont en joue. L'armée allemande rapatrie tous les prisonniers au Chef-lieu et les rassemble devant la mairie. Ce sont en tout une trentaine d'hommes réunis devant la mairie sous la menace d'une mitrailleuse disposée sur le parvis de l'église et une autre sur les ruines de la Bâtie. En milieu de journée des camions de l'armée emmènent 28 des hommes de Saint-Eustache à Annecy où ils vont être interrogés. A la suite de cet interrogatoire quatre hommes non domiciliés dans la commune sont relâchés et tous les autres sont incarcérés en vue d'être déportés. La logique de la vengeance arbitraire est implacable, il faut martyriser la commune où des Allemands ont été tués. 24 hommes seront été déportés avec d'autres, venus d'Habère-Lullin notamment. À Saint-Eustache, 17 ne reviendront pas. C'est un village de plus qui est marqué par les crimes contre l'humanité du national-socialisme. Mémoire du dernier jour: le sous-titre de l'ouvrage historique et commémoratif de Guy Pégatoquet, Michel Folliet et Joseph Tilliet est de circonstance. Avec les ouvrages de Michel Germain sur la Haute-Savoie pendant la Seconde Guerre mondiale, ce livre sur La tragédie de Saint-Eustache constitue une référence pour la connaissance de ce drame. Il reproduit des documents d'époque, dépositions ou correspondances de déportés, et des extraits de témoignages des familles et des enfants, qui sont poignants. Il rend hommage non seulement aux victimes de cette criminalité sans limite, mais aussi à ces veuves qui ont dû prendre en charge les exploitations agricoles. 3 janvier 1944, note de service de la police d'Annecy : « D'après les renseignements recueillis, les personnes mises en état d'arrestation le 1er janvier 1944 à Saint-Eustache et qui étaient détenues à Annecy, font partie d'un convoi à destination de Compiègne ». Le témoignage d'un déporté : « le 2 janvier 1944, nous avons été embarqués à plus de 50 hommes dans un wagon à bestiaux et diriger sur Compiègne. Les survivants sont embarqués le 20 janvier pour l'Allemagne dans un convoi de 2000 hommes. Nous sommes arrivés à Buchenwald. » La rafle de Saint-Eustache Parmi les 28 hommes arrêtés, 21 sont déportés, 8 survivent et 4 reviennent à Saint-Eustache et témoignent des évènements endurés. Déportés Marius BARAT, né le 17/08/1901. Déporté à Buchenwald et Mauthausen, mort le 16/03/1945 à Mauthausen. Fernand BEROD, né le 30/05/1925. Mort le 28/03/1945 à Ellrich. Rémi BONAVENTURE, né le 06/06/1913. Déporté à Buchenwald, Flossenburg, Johangeorgstadt, mort le 09/05/1945 à Térézienstadt. Léon CHAPPET, né le 06/04/1925. Déporté à Buchenwald, Mauthausen, mort le 17/03/1944 à Buchenwald. Alexis COTTARD, né le 07/12/1902. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 23/03/1944 à Hradistko. Henri-René COTTARD, né le 17/09/1898. Déporté à Compiègne, mort le 19/01/1944 à Compiègne. Louis COTTARD, né le 08/10/1905. Déporté à Buchenwald, Dora, mort le 13/04/1945 à Gardelegen. Jean DUCRET, né le 27/10/1917. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 11/04/1945 à Hradistko. René DUCRET, né le 18/05/1907. Déporté à Buchenwald et Mauthausen, mort le 10/04/1945 à Ebensée. René-Pierre DUCRET, né le 07/09/1900. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 07/05/1945 à Flossenburg. Francis LACHENAL, né le 19/05/1926. Déporté à Buchenwald, Dora, Nordhausen, mort le 07/03/1945 à Nordhausen. Antoine MEILLAND, né le 28/04/1916. Déporté à Buchenwald, Flossenburg, mort le 06/11/1944 à Lengenfeld. Jean PEGATOQUET, né le 30/06/1907. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 21/03/1944 à Hradistko . Arsène REGNIER, né le 12/03/1920. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 07/05/1945 à Johangeorgstadt. Josèph REGNIER, né le 13/03/1902. Déporté à Compiègne, mort le 07/01/1944 à Compiègne. Raymond SIMÉON, né le 11/10/1907. Déporté à Buchenwald et Mauthausen, mort le 08/09/1944 à Harthein. Philippe GARIN, né le 28/03/1921. Déporté à Compiègne, Buchenwald, Flossenburg et Johangeorgstadt. Rentré en août 1945. Flavien DEMAISON, né le 26/06/1904. Déporté à Compiègne, Buchenwald et Mauthausen, libéré par l'armée américaine le 5 mai 1945. Claudius CHAPPELUZ, né le 22/09/1907. Déporté à Compiègne, Buchenwald et Mauthausen, libéré par l'armée américaine le 5 mai 1945. Jean-Marie LEGER, né le 19/03/1899. Déporté à Compiègne et Buchenwald. Rentré le 30 juin 1945. François GROS, né le 14/09/1899. Déporté de Compiègne et Buchenwald. Rentré. Jean GROS, né le 19/02/1919. Déporté à Compiègne et Buchenwald. Rentré. Joseph BERTHET-BONGAY, né le 19/11/1921. Déporté à Compiègne, Buchenwald, Flossenburg et Johangeorgstadt. Evadé le 26 avril 1945. Esthel SUIZE, Déporté à Buchenwald et Flossenburg. Rentré. François GROS, né le 14/09/1899. Déporté de Compiègne et Buchenwald. Rentré. Jean GROS, né le 19/02/1919. Déporté à Compiègne et Buchenwald. Rentré. Joseph BERTHET-BONGAY, né le 19/11/1921. Déporté à Compiègne, Buchenwald, Flossenburg et Johangeorgstadt. Evadé le 26 avril 1945. Esthel SUIZE, Déporté à Buchenwald et Flossenburg. Rentré. LibérésLéon BERTHET, André HUDRY, Francis HUDRY, Marcel LYONNAZ-PERROUX Saint-Eustache — 31 décembre 1943 : Martyre de la Saint-Sylvestre — 3808 W1494 InscriptionLa commune de Saint-Eustache à ses enfant dépporés victimes de la Bbarbarie Nazie 1939 - 1945 Localisation AdressePlace de l'Église, 74232 Saint-Eutache À lire sur le site Saint-Eustache — Il y a 80 ans, une rafle plongeait le village dans la barbarie Habère-Lullin, commémoration du massacre de Noël 1943Articles externes France — Dernier dimanche d'avril : journée du Souvenir ders victimes de la déportation×
le 31 décembre 1943, un acte de représailles vise le village de Saint-Eustache, près du lac d'Annecy. Des fermes sont pillées, 28 hommes sont arrêtés dont 24 vont être déportés parmi lesquels 17 ne reviendront pas.À partir de l´armistice du 24 juin 1940, une partie de la Haute-Savoie est occupée par l'armée italienne. En représailles du débarquement allié en Afrique du Nord le 8 novembre 1942, l'armée italienne occupe la zone libre sur la rive gauche du Rhône. Mais les évènements qui s´ensuivent, avec le débarquement allié en Sicile et la déroute de l'armée italienne, conduisent à l´arrestation de Mussolini le 24 juillet 1943. Le 3 septembre 1943 l´armistice entre les Italiens et les Alliés est signé en secret et n'est dévoilé que le 8 septembre. L'armée allemande reprend le contrôle des territoires qu'occupaient les Italiens avant l'arrivée des Alliés. La Savoie et la Haute-Savoie passent de l'occupation italienne à l'occupation allemande à partir de septembre 1943. Le 22 décembre 1943 en Haute-Savoie se met en place un réseau de résistance et les maquisards se mettent en relation pour faire des transits d'armes et de munitions. C'est dans cette optique qu'un groupe de résistants (Corps franc Simon) décide de convoyer un lot d'armes à Thorens stockées à Saint-Jorioz où se trouve le quartier général de l'Armée Secrète. Le transfert doit se faire au Moulin de Lavray, commune de Saint-Eustache. Les hommes se réunissent pour le chargement de la cargaison qui se termine aux alentours de midi le 22 décembre 1943. Ils sont surpris au déjeuner par un militaire allemand et un interprète civil. Après quelques propos échangés, l'interprète trouve une grenade dans une veste et l'Allemand veut téléphoner. Des coups de feu s'ensuivent et les deux intrus sont tués, de même qu'un chauffeur qui attendait dans leur voiture. Les résistants cherchent à cacher les trois cadavres et la voiture qui porte les marques d'une fusillade, mais ils échouent, croyant à tort à une embuscade. La voiture et les dépouilles sont donc abandonnées dans un ravin le long de la route de Saint-Jorioz. Tout le monde s'attend désormais à de féroces représailles. Les faits du 22 décembre se terminent là. Après l'altercation au moulin de Jean Armataffet les résistants se dépêchent de partir. Le véhicule dans le ravin ne passe pas inaperçu et le soir même sa présence est signalée à la gendarmerie qui commence une enquête. Les autorités allemandes sont prévenues et viennent retirer les corps. L'enquête continue et le lien est fait avec les habitants de Saint-Eustache. Jean Armataffet qui est allé faire une déclaration à la gendarmerie, est arrêté et incarcéré à la prison d'Annecy Sentant venir les représailles l'organisation décide de retirer les armes cachées afin d'incriminer le moins possibles ceux qui les ont camouflé. Le curé et le maire de Saint-Eustache tentent toutefois de prévenir le pire. Le maire est arrêté pour des interrogatoires et sera libéré après coup. Mais la terrible dynamique de la criminalité nazie est en marche et ne s'arrêtera pas. Le 31 décembre 1943 Le 31 décembre, les troupes allemandes se déploient dans la commune de Saint-Eustache à la levée du jour et se postent en grande majorité à la fruitière du Cruet afin d'appréhender tous les paysans venus déposer leur lait. La fruitière est un lieu stratégique étant donné que chaque paysan de la commune vient déposer son lait quotidiennement, c'est le lieu idéal pour une capture de grande envergure. D'autres contingents de soldats se rendent directement dans des fermes pour arrêter les hommes et piller. Bientôt la quasi-totalité des hommes de la commune sont en joue. L'armée allemande rapatrie tous les prisonniers au Chef-lieu et les rassemble devant la mairie. Ce sont en tout une trentaine d'hommes réunis devant la mairie sous la menace d'une mitrailleuse disposée sur le parvis de l'église et une autre sur les ruines de la Bâtie. En milieu de journée des camions de l'armée emmènent 28 des hommes de Saint-Eustache à Annecy où ils vont être interrogés. A la suite de cet interrogatoire quatre hommes non domiciliés dans la commune sont relâchés et tous les autres sont incarcérés en vue d'être déportés. La logique de la vengeance arbitraire est implacable, il faut martyriser la commune où des Allemands ont été tués. 24 hommes seront été déportés avec d'autres, venus d'Habère-Lullin notamment. À Saint-Eustache, 17 ne reviendront pas. C'est un village de plus qui est marqué par les crimes contre l'humanité du national-socialisme. Mémoire du dernier jour: le sous-titre de l'ouvrage historique et commémoratif de Guy Pégatoquet, Michel Folliet et Joseph Tilliet est de circonstance. Avec les ouvrages de Michel Germain sur la Haute-Savoie pendant la Seconde Guerre mondiale, ce livre sur La tragédie de Saint-Eustache constitue une référence pour la connaissance de ce drame. Il reproduit des documents d'époque, dépositions ou correspondances de déportés, et des extraits de témoignages des familles et des enfants, qui sont poignants. Il rend hommage non seulement aux victimes de cette criminalité sans limite, mais aussi à ces veuves qui ont dû prendre en charge les exploitations agricoles. 3 janvier 1944, note de service de la police d'Annecy : « D'après les renseignements recueillis, les personnes mises en état d'arrestation le 1er janvier 1944 à Saint-Eustache et qui étaient détenues à Annecy, font partie d'un convoi à destination de Compiègne ». Le témoignage d'un déporté : « le 2 janvier 1944, nous avons été embarqués à plus de 50 hommes dans un wagon à bestiaux et diriger sur Compiègne. Les survivants sont embarqués le 20 janvier pour l'Allemagne dans un convoi de 2000 hommes. Nous sommes arrivés à Buchenwald. » La rafle de Saint-Eustache Parmi les 28 hommes arrêtés, 21 sont déportés, 8 survivent et 4 reviennent à Saint-Eustache et témoignent des évènements endurés. Déportés Marius BARAT, né le 17/08/1901. Déporté à Buchenwald et Mauthausen, mort le 16/03/1945 à Mauthausen. Fernand BEROD, né le 30/05/1925. Mort le 28/03/1945 à Ellrich. Rémi BONAVENTURE, né le 06/06/1913. Déporté à Buchenwald, Flossenburg, Johangeorgstadt, mort le 09/05/1945 à Térézienstadt. Léon CHAPPET, né le 06/04/1925. Déporté à Buchenwald, Mauthausen, mort le 17/03/1944 à Buchenwald. Alexis COTTARD, né le 07/12/1902. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 23/03/1944 à Hradistko. Henri-René COTTARD, né le 17/09/1898. Déporté à Compiègne, mort le 19/01/1944 à Compiègne. Louis COTTARD, né le 08/10/1905. Déporté à Buchenwald, Dora, mort le 13/04/1945 à Gardelegen. Jean DUCRET, né le 27/10/1917. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 11/04/1945 à Hradistko. René DUCRET, né le 18/05/1907. Déporté à Buchenwald et Mauthausen, mort le 10/04/1945 à Ebensée. René-Pierre DUCRET, né le 07/09/1900. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 07/05/1945 à Flossenburg. Francis LACHENAL, né le 19/05/1926. Déporté à Buchenwald, Dora, Nordhausen, mort le 07/03/1945 à Nordhausen. Antoine MEILLAND, né le 28/04/1916. Déporté à Buchenwald, Flossenburg, mort le 06/11/1944 à Lengenfeld. Jean PEGATOQUET, né le 30/06/1907. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 21/03/1944 à Hradistko . Arsène REGNIER, né le 12/03/1920. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 07/05/1945 à Johangeorgstadt. Josèph REGNIER, né le 13/03/1902. Déporté à Compiègne, mort le 07/01/1944 à Compiègne. Raymond SIMÉON, né le 11/10/1907. Déporté à Buchenwald et Mauthausen, mort le 08/09/1944 à Harthein. Philippe GARIN, né le 28/03/1921. Déporté à Compiègne, Buchenwald, Flossenburg et Johangeorgstadt. Rentré en août 1945. Flavien DEMAISON, né le 26/06/1904. Déporté à Compiègne, Buchenwald et Mauthausen, libéré par l'armée américaine le 5 mai 1945. Claudius CHAPPELUZ, né le 22/09/1907. Déporté à Compiègne, Buchenwald et Mauthausen, libéré par l'armée américaine le 5 mai 1945. Jean-Marie LEGER, né le 19/03/1899. Déporté à Compiègne et Buchenwald. Rentré le 30 juin 1945. François GROS, né le 14/09/1899. Déporté de Compiègne et Buchenwald. Rentré. Jean GROS, né le 19/02/1919. Déporté à Compiègne et Buchenwald. Rentré. Joseph BERTHET-BONGAY, né le 19/11/1921. Déporté à Compiègne, Buchenwald, Flossenburg et Johangeorgstadt. Evadé le 26 avril 1945. Esthel SUIZE, Déporté à Buchenwald et Flossenburg. Rentré. François GROS, né le 14/09/1899. Déporté de Compiègne et Buchenwald. Rentré. Jean GROS, né le 19/02/1919. Déporté à Compiègne et Buchenwald. Rentré. Joseph BERTHET-BONGAY, né le 19/11/1921. Déporté à Compiègne, Buchenwald, Flossenburg et Johangeorgstadt. Evadé le 26 avril 1945. Esthel SUIZE, Déporté à Buchenwald et Flossenburg. Rentré. LibérésLéon BERTHET, André HUDRY, Francis HUDRY, Marcel LYONNAZ-PERROUX Saint-Eustache — 31 décembre 1943 : Martyre de la Saint-Sylvestre — 3808 W1494
Déportés Marius BARAT, né le 17/08/1901. Déporté à Buchenwald et Mauthausen, mort le 16/03/1945 à Mauthausen. Fernand BEROD, né le 30/05/1925. Mort le 28/03/1945 à Ellrich. Rémi BONAVENTURE, né le 06/06/1913. Déporté à Buchenwald, Flossenburg, Johangeorgstadt, mort le 09/05/1945 à Térézienstadt. Léon CHAPPET, né le 06/04/1925. Déporté à Buchenwald, Mauthausen, mort le 17/03/1944 à Buchenwald. Alexis COTTARD, né le 07/12/1902. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 23/03/1944 à Hradistko. Henri-René COTTARD, né le 17/09/1898. Déporté à Compiègne, mort le 19/01/1944 à Compiègne. Louis COTTARD, né le 08/10/1905. Déporté à Buchenwald, Dora, mort le 13/04/1945 à Gardelegen. Jean DUCRET, né le 27/10/1917. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 11/04/1945 à Hradistko. René DUCRET, né le 18/05/1907. Déporté à Buchenwald et Mauthausen, mort le 10/04/1945 à Ebensée. René-Pierre DUCRET, né le 07/09/1900. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 07/05/1945 à Flossenburg. Francis LACHENAL, né le 19/05/1926. Déporté à Buchenwald, Dora, Nordhausen, mort le 07/03/1945 à Nordhausen. Antoine MEILLAND, né le 28/04/1916. Déporté à Buchenwald, Flossenburg, mort le 06/11/1944 à Lengenfeld. Jean PEGATOQUET, né le 30/06/1907. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 21/03/1944 à Hradistko . Arsène REGNIER, né le 12/03/1920. Déporté à Buchenwald et Flossenburg, mort le 07/05/1945 à Johangeorgstadt. Josèph REGNIER, né le 13/03/1902. Déporté à Compiègne, mort le 07/01/1944 à Compiègne. Raymond SIMÉON, né le 11/10/1907. Déporté à Buchenwald et Mauthausen, mort le 08/09/1944 à Harthein. Philippe GARIN, né le 28/03/1921. Déporté à Compiègne, Buchenwald, Flossenburg et Johangeorgstadt. Rentré en août 1945. Flavien DEMAISON, né le 26/06/1904. Déporté à Compiègne, Buchenwald et Mauthausen, libéré par l'armée américaine le 5 mai 1945. Claudius CHAPPELUZ, né le 22/09/1907. Déporté à Compiègne, Buchenwald et Mauthausen, libéré par l'armée américaine le 5 mai 1945. Jean-Marie LEGER, né le 19/03/1899. Déporté à Compiègne et Buchenwald. Rentré le 30 juin 1945. François GROS, né le 14/09/1899. Déporté de Compiègne et Buchenwald. Rentré. Jean GROS, né le 19/02/1919. Déporté à Compiègne et Buchenwald. Rentré. Joseph BERTHET-BONGAY, né le 19/11/1921. Déporté à Compiègne, Buchenwald, Flossenburg et Johangeorgstadt. Evadé le 26 avril 1945. Esthel SUIZE, Déporté à Buchenwald et Flossenburg. Rentré. François GROS, né le 14/09/1899. Déporté de Compiègne et Buchenwald. Rentré. Jean GROS, né le 19/02/1919. Déporté à Compiègne et Buchenwald. Rentré. Joseph BERTHET-BONGAY, né le 19/11/1921. Déporté à Compiègne, Buchenwald, Flossenburg et Johangeorgstadt. Evadé le 26 avril 1945. Esthel SUIZE, Déporté à Buchenwald et Flossenburg. Rentré. LibérésLéon BERTHET, André HUDRY, Francis HUDRY, Marcel LYONNAZ-PERROUX
Saint-Eustache — Il y a 80 ans, une rafle plongeait le village dans la barbarie Habère-Lullin, commémoration du massacre de Noël 1943