Le Souvenir Français
Délégation de la Haute-Savoie (74)
menu

Henri Plantaz, héros de la Résisitance en vallée du Giffre

15203,Livre Henri Plantaz, héros de la résistance en vallée du Giffre,

Au printemps 1944, les Allemands ne se présentaient plus qu’en nombre dans la vallée du Giffre. L’action de la Résistance s’y révèle implacable et les entraîne à rechercher tout particulièrement Henri Plantaz, l’un des derniers cadres de l’Armée secrète dans le secteur.

Le samedi 1er avril, les soldats de la Wehrmacht envahissent l’usine du Giffre et les hameaux alentours. Au cours de cette rafle, Henri Plantaz, 23 ans, tombe sous les balles allemandes.

Autres ouvrages recommandés

Dans le cadre de notre mission de mémoire et de transmission, le Souvenir Français de Haute-Savoie, vous propose régulièrement une sélection d’ouvrages incontournables. Ces lectures sont autant de portes ouvertes sur notre patrimoine mémoriel, que nous vous encourageons à découvrir et à partager.

La flamme de la nation

La flamme de la nation

Détail

Destiné au jeune public, cet ouvrage rappelle le sens de la cérémonie de l'Arc de triomphe, qui mêle histoire et patriotisme. À qui doit-on ce monument à la gloire de la Grande Armée ? À Louis-Philippe ! Depuis quand entretient-on la flamme du souvenir ? Depuis 1923. Et cela s'est poursuivi, même sous l'Occupation !

Cet ouvrage permet de comprendre ce qui a motivé ce rituel perpétué sans relâche depuis 100 ans et les raisons qui pousseront les générations futures à le poursuivre. Un ouvrage pédagogique qui contribue à perpétuer la mémoire et à faire prendre conscience de l’appartenance à la Nation. Ponctué d’illustrations, de références historiques et d’encadrés, ce livre rédigé de façon claire et précise, explique l'importance de ce geste symbolique du ravivage la Flamme sous l’Arc de Triomphe, pour l’unité et l’avenir de notre pays.

SF. •  L’Esprit de Tous Les Combats — 2012

Un petit coin de guerre perdue … 1939-1944

Un petit coin de guerre perdue … 1939-1944

Détail

Ce livre n’est pas une œuvre de fiction, ni un roman. Grégoire Snégaroff, loin de vouloir se prétendre écrivain, nous livre ici un témoignage brut, sans artifice. Chaque mot, chaque moment, chaque événement qu’il partage est ancré dans une réalité vécue. Rien n’a été inventé, tout a été observé, écouté, et ressenti.

À travers ces pages, les faits relatés sont fidèles à ce que Grégoire Snégaroff a traversé, parfois retranscrits avec un léger décalage chronologique, mais toujours ancrés dans le cadre d’une guerre méconnue. Les personnages, quant à eux, sont des ombres dans ce paysage tumultueux, des figures anonymes dont seul le colonel est esquissé. Lui, malgré l’humour qu’il inspirait, est ici traité avec un profond respect.

Les sources de ce récit sont simples et directes : des notes prises à l’époque, et la mémoire, qui fait revivre ces moments avec une force saisissante. C’est un coin de guerre, une petite fenêtre ouverte sur une réalité perdue dans l’histoire, mais toujours vive dans l’esprit de celui qui l’a vécue

  • Un petit coin de guerre perdue…
  • Ce n'est pas un roman
  • Je n'ai pas voulu faire oeuvre d'écrivain
  • Je n'ai rien inventé
  • Les rares paroles prononcées, je les ai entendues
  • Les faits racontés sont réels, je les ai vécus
  • Peut-être quelques uns ne figurent pas dans l'ordre chronologique, ils sont toujours situés dans la phase de cette guerre au moment du récit
  • Les personnages ne sont ni nommés ni décrits, ils sont le paysage
  • Seul le colonel est un peu esquissé, à peine.
  • Son personnage nous faisait sourire mais je crois qu'il a droit au respect
  • Mes sources : des notes prises à l'époque et ma mémoire…

Grégoire Snégaroff — Mai 1988

Grégoire Snégaroff • Editeur inconnu — Mai 1988

Parcours d'un étudiant savoyard dans la Résistance De Lyon à Annecy

Parcours d'un étudiant savoyard dans la Résistance De Lyon à Annecy

Détail

Étudiant au lycée du Parc à Lyon, ce jeune annécien marque dès la capitulation, sa volonté de résister à l'oppression, à l'horreur et aux abus perpétrés par le régime de Vichy et l'Allemagne nazie.

Alors que son père est prisonnier en Allemagne, Guy Sanglerat profite de ses fréquents allers-retours entre Lyon et Annecy pour s'impliquer dans les réseaux de Résistance, notamment en tant qu'agent de liaison. Après avoir échappé de justesse à la milice, il rejoint les maquis de Savoie et participe grandement à la libération d'Annecy.

Guy Sanglerat • Les Passionnés de Bouquins - 2012

Explique-moi Le Souvenir Français

Explique-moi Le Souvenir Français

Détail

Né en 1887, le Souvenir Français est une association.Elle est chargée de conserver la mémoire de ceux et celles qui sont morts pour la France, notamment en entretenant leurs tombes et les monuments élevés à leur gloire, aussi bien en France qu'à l'étranger.

Elle a également pour mission de transmettre aux générations successives, par le maintien du souvenir, le sens du devoir, l'amour de la Patrie et le respect de ses valeurs."Car la paix n'est jamais définitivement acquise ! À nous le souvenir, À eux l'immortalité.

Marie Bouvatier, Georges Dupré • Nane — 2010

1939 La drôle de guerre – Hommage aux morts pour la France

1939 La drôle de guerre – Hommage aux morts pour la France

Détail

Revue hors-série — Le 3 septembre 1939, il y a 80 ans, la France rentrait en guerre contre l’Allemagne à la suite de l’invasion de la Pologne. Commençait alors ce que les Français et les historiens ont dénommé la “drôle de guerre”.

Un guerre d’attente ou les Français s’habituaient à croire à une “drôle de paix”. Nous avons souhaité rendre hommage à ces combattants oubliés et invisibles. Ils étaient jeunes, souvent célibataires, agriculteurs pour la majorité d’entre eux, leur vie était simple, mais “ils étaient la France”.

SF. • Le SF – 2021

Le Souvenir Français et la Flamme sous l’Arc de Triomphe

Le Souvenir Français et la Flamme sous l’Arc de Triomphe

Détail

Plaquette prestige « Le Souvenir Français et la Flamme sous l’Arc de Triomphe ». Paru en 2011

SF • Le SF — 2011

Juin 1940, la guerre des Alpes - Enjeux et stratégies

Juin 1940, la guerre des Alpes - Enjeux et stratégies

Détail

1940, année totalement noire pour l'Armée française ? Certes, chacun se souvient que le 10 juin 1940, alors que l'armée française bat en retraite face à une Wehrmacht que rien n'arrête, l'Italie déclare la guerre à la France. Dans le Sud-Est, l'armée des Alpes livre une bataille qui s'achève le 25 juin.

Son issue est favorable, voire glorieuse pour les Français. Pourtant, elle n'a pas laissé une trace profonde dans les mémoires, même si c'est le seul succès important de l'Armée française durant cette période. De plus, peu de personnes imaginent l'importance politique, diplomatique et stratégique de cette bataille pour les années à venir.

Grâce à cette étude rigoureuse, qui s'appuie sur la consultation de milliers de pièces d'archives et de témoignages jusque-là inédits, Frédéric Le Moal et Max Schiavon présentent pour la première fois une vision d'ensemble des rapports franco-italiens, de la préparation des deux armées et des combats qui se sont déroulés dans les Alpes. Ils expliquent en particulier comment les tensions accumulées depuis plusieurs années, auxquelles s'ajoutent les circonstances bien particulières du printemps 1940, ont conduit Mussolini à déclarer la guerre à la France, et pourquoi l'Armée italienne n'est pas parvenue à enfoncer le front français, pourtant bien dégarni.

Il s'agit à la fois d'une synthèse de ce qui s'est passé dans le Sud-Est en 1939-1940, mais aussi d'une étude fouillée et précise des décisions prises par les responsables politiques et militaires au plus haut niveau, avant et à l'issue de cette guerre. Point de départ de la chute de Mussolini, l'étude de ce conflit est indispensable si l'on veut parfaitement comprendre la suite des événements de la Seconde Guerre mondiale.

Frédéric Le Moal, Max Schiavon • Economica — 2010

Lieux de mémoire des deux sièges 1870-1871 - Guide de la ville de Paris

Lieux de mémoire des deux sièges 1870-1871 - Guide de la ville de Paris

Détail

Le 11 novembre 1920, l'entrée du coeur de Léon Gambetta au Panthéon marque symboliquement la fin mémorielle de la guerre franco-allemande de 1870-1871. Alors que pendant plus de quarante-cinq années, la République a entouré de ferveur les combattants morts pour la patrie lors d'une défaite " victorieuse ", la vraie victoire de la Grande Guerre clôt ce temps de la mémoire. Progressivement, l'histoire de 1870-1871 est oubliée, ne laissant en lumière que l'épisode de la Commune.

Cet oubli est si fort qu'en 1941 le général de Gaulle à Londres, souhaitant mobiliser les Français dans la bataille contre l'Allemagne, évoque une " guerre de trente ans " commencée en 1914 et qui s'achèverait – exceptionnelle prémonition – en 1944-1945. Or c'est d'une " guerre de soixante-quinze ans " donc qu'il fallait alors parler. Oublier la guerre de 1870-1871, c'est en effet s'interdire de comprendre ce formidable temps de l'opposition franco-allemande marquée par trois guerres qui se sont enchâssées entre 1870 et 1945. Cent-cinquante ans ont passé.

Il nous a semblé nécessaire de remettre en lumière ce temps où les deux pays se combattent afin de mieux faire apparaître les soixante-quinze années de paix qui se sont ouvertes depuis 1945 grâce à la construction européenne. La mise en lumière de la guerre de 1870-1871 consiste d'abord à réintroduire dans l'oeil des citoyens du monde, et en particulier des citoyens français et allemands, le patrimoine né de ce conflit.

Un patrimoine exceptionnellement riche fait de monuments, de stèles, de plaques, de cimetières et de sépultures. Ce guide des lieux de mémoire du Siège de Paris (1870-1871) en Ile-de-France (Paris) est une réponse du temps présent à un passé qu'il nous apparaît nécessaire de connaître.

Jean-François Decraene • Gloria Victis - 2022

Elles ont sauvé les enfants (1939-1945) Lyon - Saint-Étienne - Chamonix

Elles ont sauvé les enfants (1939-1945) Lyon - Saint-Étienne - Chamonix

Détail

Durant la Seconde Guerre mondiale, deux femmes, Marinette Guy et Juliette Vidal, créèrent à Saint-Étienne, sous la couverture de leur association, l’Aide aux mères, un réseau en lien avec des structures de résistance existantes sur Lyon.

Ce réseau permit de sauver plusieurs dizaines d’enfants pourchassés. Au péril de leur vie, elles les prenaient en charge sur toute la région. Elles cachaient et encadraient ensuite ces enfants dans des sites d’accueil, et plus particulièrement au cœur des Alpes, à Chamonix, où elles bénéficiaient parfois de complicités héroïques locales. En se basant sur des témoignages d’enfants sauvés et sur des documents d’archives, Jean-Luc de Uffredi retrace le parcours extraordinaire de ces deux femmes qui, dès 1969, furent reconnues Justes parmi les nations pour les vies sauvées.

Elles ont sauvé les enfants (1939-1945) Lyon - Saint-Étienne - Chamonix • Les Passionnés de Bouquins - 2023

Nous soutenir

Soutenir le Souvenir Français (74)
Le Souvenir Français œuvre pour que vive la mémoire de notre Nation au travers de trois grandes actions :
  • 1

    La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.

  • 2

    Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.

  • 3

    Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.

Pour atteindre ces objectifs,nous avons besoin de vous !