Le monument Salon prefectoral, baptisé salon “Guidollet-Revillard” en hommage aux résistants ayant servi en préfecture. InscriptionGeorges Guidollet, dit Ostier intègre la résistance à 23 ans au sein du mouvement Franc-Tireur. Il s’occupe de la recherche d’imprimeurs et de la diffusion de journaux clandestins. Remarqué, il prendra la direction du Mouvement uni de la résistance (Mur) qu’il structurera et où il rassemblera des gens de tendances politiques différentes, avant de devenir président du comité départemental de libération et ensuite assurer l’intérim de préfet de Haute-Savoie d’août à septembre 1944. Irénée Révillard dit Girard a fait carrière dans l’administration des contributions directes où il terminera inspecteur rédacteur hors classe. Comme résistant, il fera un parcours dans l’ombre de représentant du Comité d’Alger chargé de l’organisation interne des maquis. Il participera aux débuts de la constitution du Comité national de la Résistance, avant d’être nommé préfet le 18 novembre 1944 par le gouvernement provisoire de la France libérée. Il y prendra des décisions difficiles dont celle de la création d’une cour martiale. Localisation AdresseRue 30e Régiment d'Infanterie, 74000 ANNECY À lire sur le site Irénée Révillard, grand résistant et artisan de la libération de la Haute-Savoie Hommage aux deux préfets résistants×
Georges Guidollet, dit Ostier intègre la résistance à 23 ans au sein du mouvement Franc-Tireur. Il s’occupe de la recherche d’imprimeurs et de la diffusion de journaux clandestins. Remarqué, il prendra la direction du Mouvement uni de la résistance (Mur) qu’il structurera et où il rassemblera des gens de tendances politiques différentes, avant de devenir président du comité départemental de libération et ensuite assurer l’intérim de préfet de Haute-Savoie d’août à septembre 1944. Irénée Révillard dit Girard a fait carrière dans l’administration des contributions directes où il terminera inspecteur rédacteur hors classe. Comme résistant, il fera un parcours dans l’ombre de représentant du Comité d’Alger chargé de l’organisation interne des maquis. Il participera aux débuts de la constitution du Comité national de la Résistance, avant d’être nommé préfet le 18 novembre 1944 par le gouvernement provisoire de la France libérée. Il y prendra des décisions difficiles dont celle de la création d’une cour martiale.
Irénée Révillard, grand résistant et artisan de la libération de la Haute-Savoie Hommage aux deux préfets résistants