Tirvaudey Maxime Militaire — Mort accidentellement 16 mai 1987 à Amiens (60) 27 février 2013 à Chamonix (74) Médaille de la défense nationale / BiographieLe Mercredi 27 férvrier 2013, dans la matinée, deux sous-officiers instructeurs de l’école militaire de haute montagne (EMHM) ont fait une chute mortelle alors qu’ils évoluaient en crampons et piolets dans le massif du Mont-Blanc. Ils ont dévissé pour une raison inconnue alors qu’ils évoluaient en cordée dans l’Envers des Aiguilles de Chamonix. L’adjudant-chef Bruno Delobel et le sergent-chef Maxime Tirvaudey étaient tous deux aspirants guides de haute montagne. Ils réalisaient une course d’entraînement dans le cadre de leur formation de guide. Prévenu par un guide ayant été témoin de l’accident, le peloton de gendarmerie de haute-montagne de Chamonix est rapidement intervenu sur les lieux de l’accident. Les gendarmes n’ont pu que constater le décès des deux sous-officiers. Le sergent-chef Maxime Tirvaudey était âgé de 26 ans, natif d’Amiens. Issu de la section d’éclaireurs de montagne n°68 de l’EMHM, il avait rejoint le 7e B.C.A. de Bourg-Saint-Maurice. Projeté en République de Côte d’Ivoire le 17 février 2007 dans le cadre de l’opération « Licorne », en République de Côte d’Ivoire, il s'y distingue notamment en contribuant à sauver une vie humaine et en participant au développement de l’autorité des forces impartiales dans la zone de confiance. Pour son action courageuse, le chef d’état-major des armées vous témoigne de sa satisfaction. En 2012, il est promu au grade de sergent-chef. En août 2012, il fut affecté à l’EMHM, où il intégra la direction des stages en tant qu’instructeur montagne. Chef de détachement de haute montagne et aspirant guide depuis 2013, il poursuivait sa formation et préparait les stages finaux du cursus de guide de haute montagne. Humble et enthousiaste, ce sous-officier exemplaire savait susciter l’adhésion et la confiance de ses hommes. Sportif et montagnard accompli, il avait été tout naturellement muté à l’EMHM. Il a servi la France pendant sept ans et demi. En août 2012, l’EMHM avait été endeuillée par la disparition de l’adjudant-chef Laurent Fabre, 44 ans, instructeur au sein de la Direction des stages (DDS), qui avait également fait une chute fatale dans le massif du Mont-Blanc. Il s'est vus décerner la Médaille de la Défense nationale avec palme (or), à titre posthume. 2013 — Maxime Tirvaudey, l'ascensiondu Mont-Blanc du Tacul, un rêve qui devient réalité2013 — Dernier hommage aux soldats de l’EMHM Bruno Delobel et Maxime Tirvaudey
Pose de cocardes à l'EMHM de Chamonix Exposition 90 ans de l'EMHM piolet et fusil Hommage à Max Bonniot, décédé à 31 ans dans un accident d’alpinisme Max Bonniot, parti beaucoup trop tôt L'adjudant Philippe Jean, un wingsuiter se tue au Brévent Dernier hommage aux soldats de l’EMHM à Chamonix Vive émotion à l’École militaire de haute montagne Chute mortelle dans le Mont-Blanc pour un militaire de l’EMHM In Memoriam OPEX ONU OTAN FINUL
Le Souvenir Français œuvre pour que vive la mémoire de notre Nation au travers de trois grandes actions :1La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.2Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.3Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.Pour atteindre ces objectifs,nous avons besoin de vous !