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Au début de la guerre, Robert Taisseire vivait avec ses parents 32 boulevard Pierre Sola, à Nice. En février 1944, il avait rejoint, avec son frère Georges, le Plateau des Glières dans la section « Hoche », commandée par le lieutenant Louis Jourdan-Joubert.
Après l’ordre du 26 mars 1944 de rejoindre les maquis d’origine, il décrocha avec tous les camarades de sa section, dont son frère Georges. Parvenu au col du Perthuis, les deux frères se perdirent de vue. Robert descendit avec d’autres maquisards sur La Balme-de-Thuy, où il fut pris par les Allemands.
Torturé, il fut abattu d’une balle dans la tête, alors qu’il tentait de fuir, au moment où un groupe de maquisards était fusillé au siège de la Gestapo de Thônes, (le Villaret), le 30 mars 1944, à 6 heures du matin.
Il est inhumé dans la nécropole militaire nationale de Morette, tombe n°100. Il fut reconnu « Mort pour la France » et homologué FFI et interné résistant. Son nom figure sur le Mur du souvenir élevé à l’entrée de ladite nécropole et à Nice (Monument aux Morts du quartier de Cimiez ; Plaque commémorative du groupe scolaire Bischoffsheim).
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Les corps de 105 résistants, principalement des combattants des Glières, sont inhumés au cimetière de Morette dès avril 1944. Inauguré par Vincent AURIOL en 1947, ce cimetière militaire devient la Nécropole nationale des Glières en 1984, classé monument historique en 2015. Il est géré par l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre.
En hommage aux résistants fusillés dans les prés du Villaret.
Gaston BocquetJean CoustonRoland LaurentMaurice PhanerRaymond Phippaz-TurbanAndré PromptClément Rostaing Robert Taisseire Sauveur ValentiPierre Bastian
La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.
Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.
Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.