Libération-NordC'est d'abord un journal clandestin, qui apparaît en décembre 1940, puis Libération-Nord se transforme en novembre 1941 en un mouvement de résistance. Les initiateurs sont Christian Pineau et l'équipe du Manifeste des douze ; le mouvement veut représenter la SFIO clandestine ainsi que les mouvances syndicales CGT (non communiste) et CFTC. Dans l'ensemble, ce mouvement est surtout formé de socialistes. L'une des caractéristiques du mouvement est de privilégier la politique par rapport au militaire. En 1942, deux réseaux de résistance sont créés à partir de Libération-Nord, sous le contrôle du Bureau central de renseignements et d'action (BCRA) : Phalanx, en zone sud, par Christian Pineau ; Cohors-Asturies, en zone nord. Début 1943, il commence à organiser des groupes armés, sous l'impulsion du philosophe Jean Cavaillès et du colonel Georges Zarapoff. Représenté au Conseil national de la Résistance, où il relaie l'influence de la SFIO clandestine, le mouvement refuse en décembre 1943 de se joindre aux Mouvements unis de la Résistance (MUR). À l'instar de l'Organisation civile et militaire (OCM), il échoue à créer, avec la SFIO, un grand parti travailliste issu de la Résistance.
Le Souvenir Français œuvre pour que vive la mémoire de notre Nation au travers de trois grandes actions :1La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.2Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.3Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.Pour atteindre ces objectifs,nous avons besoin de vous !