Récompense Présentation de Enzo BONOPERA Témoignage du 18 mars 2004au Savoie-Léman devant des élèves M. Enzo BONOPERA, un ancien Cadet de la promotion "18 juin" et sergent de la 2ème "DB" est venu très gentiment nous témoigner de son parcours, depuis sa naissance (dont la date exacte est le 28 octobre 1926, son père étant anti-fasciste et le 28 octobre étant la date de la marche sur Rome de Mussolini, il n'a été déclaré à la mairie que le lendemain) jusqu'à sa démobilisation en novembre 1945. Je suis né le 29 Octobre 1926 à Fabriano en Italie. Mon père, militant du parti républicain, a fui le régime fasciste de l'époque. L'hiver 1928-1929,il traversa les ALpes à pied. Un an plus tard, ma mère avec ses quatre garcons (12, 9 1/2, 8 et 3 ans) put le rejoindre en France avec l'aide de guides qui, aussi, lui ont fait traverser les Alpes à pied. N'ayant que 3 ans, j'ai été transporté dans un sac à dos. Le voyage a duré 3 jours et 3 nuits. La famille s'est alors installée en Haute-Savoie où naquirent 3 autres enfants et elle obtint la nationalité francaise par naturalisation en décembre 1936. En 1938, embauché comme caddy au club de golf d'Evian, je fis la connaissance d'un couple Anglo-Hollondais aisé et sans enfants qui "m'adoptèrent". Avec l'accord de mes parents, ils devinrent "mes Parrain et Marraine" et m'emmenèrent avec eux à La Haye. En Novembre 1939, mon Parrain fut enlevé par les S.S allemands (j'ai su plus tard qu'il faisait partie de l'Intelligence Service). Par mesure de sécurité, son épouse fut envoyée en Angleterre et moi en France. Fin 1940, ma Marraine fit le nécessaire pour que je la rejoigne en Angleterre. Avec l'aide de l'Ambassade Britannique et de la Croix Rouge Internationale j'ai quitté Evian en décembre 1940 via Genève, Madrid, Lisbonne et je suis arrivé à Bristol en Avril 1941. Je n'ai aucun mérite à avoir effectué ce voyage (sauf que je l'ai fait seul!) car j'avais un passeport en règle et l'aide de l'Ambassade Anglaise à Lisbonne qui m'a obtenue une place dans un avion! À ce moment là, je n'avais pas entendu l'Appel du Général De Gaulle. J'avais alors 14 ans 1/2 mais je savais que des francais continuaient à se battre aux côtés des Anglais. En Angleterre, je suis d'abord allé dans une école anglaise. Nous habitions dans la campagne du Deonshire nous entendions passer les avions allemands qui allaient bombarder les grandes villes proches: Exeter, Portsmouth… Chaque jour, nous écoutions la radio (le B.B.C.) qui nous parlaient des bombardements, des batailles aériennes au-dessus de la Grande-Bretagne, des batailles terrestres en Egypte, Erythrée, Liban, Syrie etc… et puis, un jour, de la bataille de BIR HAKEIM menée par des Francais commandé par un certainGénéral KOENIG, qui se battaient pour la France et qui lui rendaient son Honneur auprès des Anglais. C'est à partir de la que j'ai voulu rejoindre les Francais qui, sous l'ordre du Général De Gaulle se battaient pour libérer leur pays. J'avais 15 ans 1/2. Le 16 Août 1942, j'ai rejoint la "France Libre" à Londres. Vu mon jeune âge, on m'envoya à "l'École Militaire des Cadets" qui venait d'être créée six mois auparavant et dont la mission était de s'occuper des quelques dizaines de jeunes venus de France, d'Amérique, d'Angleterre… et d'en faire, si possible, des officiers. À sa fermeture en Juin 1944, l'Ecole avait 150 élèves provenant, en plus des pays déjà cités, de Madagascar, des Antilles, de la Réunion, du Canada, un Suedois, un Luxembourgois et moi-même Italien! Car j'ai appris plus tard que Petain et son gouvernement avaient retiré la nationalité française à ma famille en Janvier 1942 En Juin 1944, j'ai été nommé Sergent et affecté à la 2e Division Blindée commandée par le Général LECLERC division qui venait d'arriver d'Afrique du Nord [P]Dans la 2e D.B, j'ai été nommé chef de groupe motocycliste de l'Etat Majeur du Colonel Dio, commandant le groupement tactique du même nom. Dans ce groupe motocycliste, il y avait des soldats qui avaient fait toutes les campagnes de la colonne LECLERC qui, parti du Téhad prit KOUFRA, MOURZOUK et arriva en Tunisie.[/p] La 2e D.B débarqua en Normandie le 1er Août 1944 à UTAH beach. J'ai participé à toute la campagne de la Libération, aux batailles de Carrouges, Falaise, Alencon, Paris, Strasbourg où nous arrivâmes le 24 Novembre 1944. En Janvier 1945, la 2e D.B est remplacé par la 1ere Division Francaise Libre car elle est envoyé en renfort auprès des Américains qui résistaient très mal à une contre-attaque allemande à BITCHE. En Février, nous avons été envoyés sur la côte Atlantique pour libérer les "poches allemandes" de Royan et de la Rochelle. En Avril, nous sommes enfin envoyés en Allemagne et c'est la 2e D.B qui a la fierté et la joie de prendre le "nid de l'aigle" d'Hitler à BERCHTESGADEN. Un mois après, la division a été envoyée en France en Seine et Marne. Je me suis fait démobiliser en Novembre 1945. Ce qu'il y a à retenir de ces évènements, c'est que, grâce à l'action de Général De Gaulle et des 53 000 Francais (dont 3 000) qui n'ont jamais voulu déposer leurs armes, la France s'est retrouvée dans le camp des vainqueurs : elle était présente à la signature de la capitulation allamande, représentée par le Général Lattre de Tassigny à la capitulation japonaise représentée par le Général Leclerc de Hautelocque elle a obtenu un siège permanent au Conseil de sécurité des Nations Unies. Ce qui m'a le plus marqué au cours de cette période, c'est la camaraderie, qui est toujours présente 60 ans après, qui unissait tous ces hommes venus d'horizons et de situations bien différentes. Leur volonté de se battre pour libérer la France et les Francais du Joug allemand, leur fierté d'avoir suivi un Général alors inconnu dans un moment où peu de francais l'ont fait. Je voudrais dire aux jeunes d'aujourd'hui qu'il ne faut pas douter de la France et qu'il faut tout faire pour qu'au sein de l'Europe unie, elle reste la France. Toujours avides d'anecdotes, nous lui avons demandé de nous en citer quelques-une. Les voici donc, retranscrites le plus fidèlement possible. Quand il était sergent du groupe motocycliste dans la 2ème Division Blindée, sa moto était une Harley Davidson. Ces motos sont très lourdes et peu pratiques pour le tout-terrain. Ses missions, lors desquelles il emmenait des messages écrits aux groupes de résistants, se faisaient souvent de nuit. Une nuit, alors qu'il coupait en plein champ, il s'est empêtré dans une ligne téléphoniques des compagnies de transmission. Il mit toute la nuit pour s'en dépêtrer, du fait que le fil était tout emmêlé autours de sa moto. Une autre fois, alors qu'il était en Alsace, vers Obenheim, Popstein, alors qu'il était en mission, il entendit soudain un bruit. Il se retourna et découvrit un Messerschmit qui l'avait pris en chasse. Son seul recours était de foncer droit dans le fossé. Le seul petit problème c'est qu'il devait ressortir la moto après… Le 23 novembre 1944, Strasbourg était entrain de se faire libérer. Il était à Favère avec le colonel Diot. Le colonel devait aller voir le général Leclerc et, avec un autre motard, ils l'ont accompagnés à Strasbourg. Arrivés sur la place Kleber, le colonel est rentré dans l'immeuble où il y avait le général Leclerc. Les deux motards attendaient dehors avec leurs motos. Tout à coup, il y eu un bombardement. Un obus est tombé à environ 2m des deux motards. De l'extérieur du bâtiment, ils atterrirent à l'intérieur, un peu KO.Comité d'Évian Enzo BONOPERA est Médaille de Bronze du Souvenir Français. Médaille de Bronze01/11/2014Enzo BONOPERAMédaille de BronzeÉvian Les membres Attribution des récompensesDes récompenses sont accordées par le conseil d'administration aux membres du SOUVENIR FRANÇAIS (ou à des associations ou des municipalités) qui ont rendu des services à l'association et se sont fait remarquer par l'activité et le dévouement qu'ils ont déployé. L'ancienneté de présence au sein de l'association ne constitue pas le seul critère d'attribution. Ces décorations peuvent être : Diplôme d'honneur, médailles de bronze et d'argentDiplôme d'honneur : à partir de 2 ans de présence active au sein de l'associationMédaille de bronze : à partir de 4 ans après l'octroi du diplôme d'honneur (contingentée à 5% du nombre d'adhérent)Médaille d'argent : à partir de 4 ans après l'octroi de la médaille de bronze et de nouveaux services rendus ou responsabilités exercées (contingentée à 1% du nombre d'adhérent)Gérée par le délégué général Médailles de vermeil (sans et avec avec bélière laurée) et cravate d'HonneurMédaille de vermeil : à partir de 4 ans après l'octroi de la médaille d'argentMédaille de vermeil avec bélière laurée : à partir de 5 ans après l'octroi de la médaille de vermeilCravate d'honneur : à partir de 15 ans après l'octroi de la médaille de vermeil avec bélière laurée et la possession de toutes les médailles précédentes
Témoignage du 18 mars 2004au Savoie-Léman devant des élèves M. Enzo BONOPERA, un ancien Cadet de la promotion "18 juin" et sergent de la 2ème "DB" est venu très gentiment nous témoigner de son parcours, depuis sa naissance (dont la date exacte est le 28 octobre 1926, son père étant anti-fasciste et le 28 octobre étant la date de la marche sur Rome de Mussolini, il n'a été déclaré à la mairie que le lendemain) jusqu'à sa démobilisation en novembre 1945. Je suis né le 29 Octobre 1926 à Fabriano en Italie. Mon père, militant du parti républicain, a fui le régime fasciste de l'époque. L'hiver 1928-1929,il traversa les ALpes à pied. Un an plus tard, ma mère avec ses quatre garcons (12, 9 1/2, 8 et 3 ans) put le rejoindre en France avec l'aide de guides qui, aussi, lui ont fait traverser les Alpes à pied. N'ayant que 3 ans, j'ai été transporté dans un sac à dos. Le voyage a duré 3 jours et 3 nuits. La famille s'est alors installée en Haute-Savoie où naquirent 3 autres enfants et elle obtint la nationalité francaise par naturalisation en décembre 1936. En 1938, embauché comme caddy au club de golf d'Evian, je fis la connaissance d'un couple Anglo-Hollondais aisé et sans enfants qui "m'adoptèrent". Avec l'accord de mes parents, ils devinrent "mes Parrain et Marraine" et m'emmenèrent avec eux à La Haye. En Novembre 1939, mon Parrain fut enlevé par les S.S allemands (j'ai su plus tard qu'il faisait partie de l'Intelligence Service). Par mesure de sécurité, son épouse fut envoyée en Angleterre et moi en France. Fin 1940, ma Marraine fit le nécessaire pour que je la rejoigne en Angleterre. Avec l'aide de l'Ambassade Britannique et de la Croix Rouge Internationale j'ai quitté Evian en décembre 1940 via Genève, Madrid, Lisbonne et je suis arrivé à Bristol en Avril 1941. Je n'ai aucun mérite à avoir effectué ce voyage (sauf que je l'ai fait seul!) car j'avais un passeport en règle et l'aide de l'Ambassade Anglaise à Lisbonne qui m'a obtenue une place dans un avion! À ce moment là, je n'avais pas entendu l'Appel du Général De Gaulle. J'avais alors 14 ans 1/2 mais je savais que des francais continuaient à se battre aux côtés des Anglais. En Angleterre, je suis d'abord allé dans une école anglaise. Nous habitions dans la campagne du Deonshire nous entendions passer les avions allemands qui allaient bombarder les grandes villes proches: Exeter, Portsmouth… Chaque jour, nous écoutions la radio (le B.B.C.) qui nous parlaient des bombardements, des batailles aériennes au-dessus de la Grande-Bretagne, des batailles terrestres en Egypte, Erythrée, Liban, Syrie etc… et puis, un jour, de la bataille de BIR HAKEIM menée par des Francais commandé par un certainGénéral KOENIG, qui se battaient pour la France et qui lui rendaient son Honneur auprès des Anglais. C'est à partir de la que j'ai voulu rejoindre les Francais qui, sous l'ordre du Général De Gaulle se battaient pour libérer leur pays. J'avais 15 ans 1/2. Le 16 Août 1942, j'ai rejoint la "France Libre" à Londres. Vu mon jeune âge, on m'envoya à "l'École Militaire des Cadets" qui venait d'être créée six mois auparavant et dont la mission était de s'occuper des quelques dizaines de jeunes venus de France, d'Amérique, d'Angleterre… et d'en faire, si possible, des officiers. À sa fermeture en Juin 1944, l'Ecole avait 150 élèves provenant, en plus des pays déjà cités, de Madagascar, des Antilles, de la Réunion, du Canada, un Suedois, un Luxembourgois et moi-même Italien! Car j'ai appris plus tard que Petain et son gouvernement avaient retiré la nationalité française à ma famille en Janvier 1942 En Juin 1944, j'ai été nommé Sergent et affecté à la 2e Division Blindée commandée par le Général LECLERC division qui venait d'arriver d'Afrique du Nord [P]Dans la 2e D.B, j'ai été nommé chef de groupe motocycliste de l'Etat Majeur du Colonel Dio, commandant le groupement tactique du même nom. Dans ce groupe motocycliste, il y avait des soldats qui avaient fait toutes les campagnes de la colonne LECLERC qui, parti du Téhad prit KOUFRA, MOURZOUK et arriva en Tunisie.[/p] La 2e D.B débarqua en Normandie le 1er Août 1944 à UTAH beach. J'ai participé à toute la campagne de la Libération, aux batailles de Carrouges, Falaise, Alencon, Paris, Strasbourg où nous arrivâmes le 24 Novembre 1944. En Janvier 1945, la 2e D.B est remplacé par la 1ere Division Francaise Libre car elle est envoyé en renfort auprès des Américains qui résistaient très mal à une contre-attaque allemande à BITCHE. En Février, nous avons été envoyés sur la côte Atlantique pour libérer les "poches allemandes" de Royan et de la Rochelle. En Avril, nous sommes enfin envoyés en Allemagne et c'est la 2e D.B qui a la fierté et la joie de prendre le "nid de l'aigle" d'Hitler à BERCHTESGADEN. Un mois après, la division a été envoyée en France en Seine et Marne. Je me suis fait démobiliser en Novembre 1945. Ce qu'il y a à retenir de ces évènements, c'est que, grâce à l'action de Général De Gaulle et des 53 000 Francais (dont 3 000) qui n'ont jamais voulu déposer leurs armes, la France s'est retrouvée dans le camp des vainqueurs : elle était présente à la signature de la capitulation allamande, représentée par le Général Lattre de Tassigny à la capitulation japonaise représentée par le Général Leclerc de Hautelocque elle a obtenu un siège permanent au Conseil de sécurité des Nations Unies. Ce qui m'a le plus marqué au cours de cette période, c'est la camaraderie, qui est toujours présente 60 ans après, qui unissait tous ces hommes venus d'horizons et de situations bien différentes. Leur volonté de se battre pour libérer la France et les Francais du Joug allemand, leur fierté d'avoir suivi un Général alors inconnu dans un moment où peu de francais l'ont fait. Je voudrais dire aux jeunes d'aujourd'hui qu'il ne faut pas douter de la France et qu'il faut tout faire pour qu'au sein de l'Europe unie, elle reste la France. Toujours avides d'anecdotes, nous lui avons demandé de nous en citer quelques-une. Les voici donc, retranscrites le plus fidèlement possible. Quand il était sergent du groupe motocycliste dans la 2ème Division Blindée, sa moto était une Harley Davidson. Ces motos sont très lourdes et peu pratiques pour le tout-terrain. Ses missions, lors desquelles il emmenait des messages écrits aux groupes de résistants, se faisaient souvent de nuit. Une nuit, alors qu'il coupait en plein champ, il s'est empêtré dans une ligne téléphoniques des compagnies de transmission. Il mit toute la nuit pour s'en dépêtrer, du fait que le fil était tout emmêlé autours de sa moto. Une autre fois, alors qu'il était en Alsace, vers Obenheim, Popstein, alors qu'il était en mission, il entendit soudain un bruit. Il se retourna et découvrit un Messerschmit qui l'avait pris en chasse. Son seul recours était de foncer droit dans le fossé. Le seul petit problème c'est qu'il devait ressortir la moto après… Le 23 novembre 1944, Strasbourg était entrain de se faire libérer. Il était à Favère avec le colonel Diot. Le colonel devait aller voir le général Leclerc et, avec un autre motard, ils l'ont accompagnés à Strasbourg. Arrivés sur la place Kleber, le colonel est rentré dans l'immeuble où il y avait le général Leclerc. Les deux motards attendaient dehors avec leurs motos. Tout à coup, il y eu un bombardement. Un obus est tombé à environ 2m des deux motards. De l'extérieur du bâtiment, ils atterrirent à l'intérieur, un peu KO.Comité d'Évian
Diplôme d'honneur : à partir de 2 ans de présence active au sein de l'associationMédaille de bronze : à partir de 4 ans après l'octroi du diplôme d'honneur (contingentée à 5% du nombre d'adhérent)Médaille d'argent : à partir de 4 ans après l'octroi de la médaille de bronze et de nouveaux services rendus ou responsabilités exercées (contingentée à 1% du nombre d'adhérent)Gérée par le délégué général
Médaille de vermeil : à partir de 4 ans après l'octroi de la médaille d'argentMédaille de vermeil avec bélière laurée : à partir de 5 ans après l'octroi de la médaille de vermeilCravate d'honneur : à partir de 15 ans après l'octroi de la médaille de vermeil avec bélière laurée et la possession de toutes les médailles précédentes
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Le Souvenir Français œuvre pour que vive la mémoire de notre Nation au travers de trois grandes actions :1La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.2Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.3Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.Pour atteindre ces objectifs,nous avons besoin de vous !