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Réfractaire au STO, Clément Rostaing rejoignit le maquis sur le Plateau des Glières (Section Leclerc). Après l’ordre de décrochage du 26 mars 1944, il fut capturé par les Allemands et amené au siège de la Gestapo au Villaret, à Thônes.
Là, il fut torturé avant d’être fusillé le 30 mars 1944, à 6 heures du matin.
Il fut inhumé dans nécropole militaire nationale de Morette, tombe n°57, déclaré « Mort pour la France » et homologué FFI. Son nom est gravé sur le monument élevé à l’entrée de ladite nécropole et sur une plaque commémorative apposée sur la façade de l’église du Thyl (Savoie).
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Les corps de 105 résistants, principalement des combattants des Glières, sont inhumés au cimetière de Morette dès avril 1944. Inauguré par Vincent AURIOL en 1947, ce cimetière militaire devient la Nécropole nationale des Glières en 1984, classé monument historique en 2015. Il est géré par l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre.
En hommage aux résistants fusillés dans les prés du Villaret.
Gaston BocquetJean CoustonRoland LaurentMaurice PhanerRaymond Phippaz-TurbanAndré PromptClément Rostaing Robert Taisseire Sauveur ValentiPierre Bastian
La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.
Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.
Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.