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Georges Lanovaz était le fils de François Léonard Lanovaz et de son épouse Marie Angeline Grand. Ses parents travaillaient la terre dans la commune. Georges devint fromager à Juvigny, commune voisine de Ville-la-Grand.
Georges LANOVAZ n’était pas un résistant. Agriculteur à Crêt, il avait aussi comme rôle d’assurer le fonctionnement du pèse-lait des exploitations du hameau et de Juvigny. Du fait de son activité professionnelle, Georges LANOVAZ possédait un laisser-passer lui permettant de circuler en dehors des heures du couvre-feu. Au petit matin du 2 février 1944, Georges se rendit comme chaque matin à la « mène du lait » dans la petite cabane située au lieu-dit Le Crêt, au bord de la route qui longe la frontière avec la Suisse. Une patrouille allemande de douaniers, l’apercevant, tira sans sommations, l’abattant dans le froid glacia d'une une rafale de mitraillette. Il s’est affaissé, mortellement blessé. Il était huit heures du matin. (Mémorial de l’oppression 3808 W 1545).
Aucune explication ne fut donnée à cette « bavure » allemande. L’occupant en cette fin de guerre était particulièrement nerveux, et des témoins de ce matin-là certifièrent que la patrouille allemande était visiblement ivre quand elle a pris la direction de Carra et Crêt.
Georges LANOVAZ avait seulement 34 ans.Une rue porte son à Ville-la-Grand
Georges fut reconnu « Mort pour la France » (sans date) et figure sur le monument aux morts de sa commune natale.
À lire sur le site
Ville-la-grand — Stèle et déportés 1939-1945
La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.
Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.
Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.