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Né à la Closerie des Pins, à Marseille (Bouches-du-Rhône), fils d’Adrien Honoré Couston et de Marie Adèle Ernestina Bazzani, infirmière, Jean Coston devint pointeur sur les quais du port.
Avec l’occupation allemande en 1942, il chercha à rejoindre la Résistance et on le retrouva fin 1943 en Haute-Savoie. Maquisard des Glières à 18 ans et demi, il appartint probablement à la section « Leclerc » du lieutenant Jouglas.
Après l’ordre de décrochage du 26 mars 1944, il tenta de sortir du Plateau, comme beaucoup de maquisards de sa section, par le col de l’Ovine, mais il fut arrêté par les Allemands probablement en descendant vers le Sappey.
Il fut amené à Thônes au siège de la Gestapo de Thônes, installé dans la maison du Villaret. Là il fut, comme tous les jeunes pris par l’ennemi, torturé. Il est exécuté le 30 mars 1944, à 6 heures du matin, dans le champ à côté de la maison du Villaret.
Il est inhumé dans la nécropole militaire nationale de Morette, tombe n°50. Homologué FFI, il est reconnu « Mort pour la France » par une transcription du 24 février 1945. Une plaque rappelle les noms des martyrs du Villaret. Son nom est inscrit sur le Mur du Souvenir élevé à l’entrée du cimetière de Morette.
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Les corps de 105 résistants, principalement des combattants des Glières, sont inhumés au cimetière de Morette dès avril 1944. Inauguré par Vincent AURIOL en 1947, ce cimetière militaire devient la Nécropole nationale des Glières en 1984, classé monument historique en 2015. Il est géré par l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre.
En hommage aux résistants fusillés dans les prés du Villaret.
Gaston BocquetJean CoustonRoland LaurentMaurice PhanerRaymond Phippaz-TurbanAndré PromptClément Rostaing Robert Taisseire Sauveur ValentiPierre Bastian
La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.
Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.
Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.