Camp de Sommand ,Type Action / Date Création : Été 1942R.F.I : Armée secrète / Rattachement : A.S. État-major départemental / Commandement : Carrier Jean Claude / Communes : Mieussy / À l'été 1942, Jean Carrier et Rubens Brunet créèrent le « Camp de Sommand », « camp de réfractaires » à la politique de Vichy, arrivés dans les montagnes savoyardes afin de fuir les pressions de « La Relève » Le camp du Môle, camp de Sommand, et le camp de Verchaix, devinrent des « camps de maquis » au printemps 1943, pour répondre à l’afflux de réfractaires lié à la loi instaurant le Service du travail obligatoire (S.T.O.) qui assujettissait les jeune gens nés entre 1920 et 1922. Le Service national maquis (SNM), lié à l’Armée secrète (A.S.) avait pour mission la récupération des jeunes réfractaires au STO, d’assurer leur organisation, leur intendance et leur encadrement afin d’en faire des combattants formés militairement en vue de la formation d’une prochaine armée de libération nationale, les futures Forces françaises de l’intérieur (FFI). La Vallée du Giffre abrita les premiers et les seuls « camps de réfractaires » de la région et peut-être de France, donc, par extension, les premiers « camps de maquis » qui purent bénéficier d’une organisation de terrain déjà en place. Portrait de maquisardJean CarrierRésistant À lire sur le site Inauguration de la stèle en l'honneur du maquis de Loëx et des jeunes de Taninges engagés pour la libération Les maquis
À l'été 1942, Jean Carrier et Rubens Brunet créèrent le « Camp de Sommand », « camp de réfractaires » à la politique de Vichy, arrivés dans les montagnes savoyardes afin de fuir les pressions de « La Relève » Le camp du Môle, camp de Sommand, et le camp de Verchaix, devinrent des « camps de maquis » au printemps 1943, pour répondre à l’afflux de réfractaires lié à la loi instaurant le Service du travail obligatoire (S.T.O.) qui assujettissait les jeune gens nés entre 1920 et 1922. Le Service national maquis (SNM), lié à l’Armée secrète (A.S.) avait pour mission la récupération des jeunes réfractaires au STO, d’assurer leur organisation, leur intendance et leur encadrement afin d’en faire des combattants formés militairement en vue de la formation d’une prochaine armée de libération nationale, les futures Forces françaises de l’intérieur (FFI). La Vallée du Giffre abrita les premiers et les seuls « camps de réfractaires » de la région et peut-être de France, donc, par extension, les premiers « camps de maquis » qui purent bénéficier d’une organisation de terrain déjà en place. Portrait de maquisardJean CarrierRésistant À lire sur le site Inauguration de la stèle en l'honneur du maquis de Loëx et des jeunes de Taninges engagés pour la libération Les maquis
Inauguration de la stèle en l'honneur du maquis de Loëx et des jeunes de Taninges engagés pour la libération