Une association ouverte à tous Le Souvenir français est une association d’utilité publique. Souvent confondue avec les associations d'anciens combattants du fait de nos présences communes lors des commémorations, le Souvenir Français de Haute-Savoie n'est ni une association d'anciens combattants, ni une association réservée aux militaires.Le Souvenir Français est ouvert à tous sans restriction ni discrimination d'âge, de sexe, de natonalité, d'opinion politiques ou de confessions religieuse. L’adhésion est libre. Le Souvenir Français a pour vocation de maintenir la mémoire de tous ceux qui, combattants de la liberté et du droit, sont morts pour la France, ou l’ont bien servie, qu’ils soient Français ou étrangers. Qu'est-ce que le Souvenir Français ? Gardien de la mémoire, le Souvenir français a pour vocation d'honorer, aux cotés des associations d'anciens combattants de tous conflits (14-18, 39-45, indochine, AFN, OPEX), la mémoire de tous ceux qui sont morts pour la France en s’occupant de l’entretien des sépultures et des monuments aux morts, en enracinant le souvenir au travers de journées commémoratives et en favorisant la transmission auprès des jeunes générations et des enseignants. Quels type d'actions conduit le Souvenir Français ? Entretenir Aucune tombe de « Mort pour le France » ne doit disparaître des cimetières communaux, aucun monument, aucune stèle combattante ne doit être à l’abandon. Conserver Aucune cérémonie créée à l’origine pour enraciner le souvenir d’un événement historique local ne doit disparaître. Transmettre Aucun élève ne doit quitter sa scolarité sans avoir visité au moins un site mémoriel combattant et avoir participé au moins à une cérémonie patriotique. La délégation générale L'histoire du Souvenir Français 1887–1918 — Le temps du développement 1887 —Le Souvenir Français est créé en 1887 par François-Xavier Niessen.Originaire d’Alsace, François-Xavier Niessen s’est installé à Neuilly-sur-Seine quelques années avant la guerre de 1870. Il y exerce la profession de précepteur. Il reste très lié à la communauté alsacienne lorraine qui se développe de manière très importante après 1871 à Paris. Il crée en 1873 la Société de prévoyance et de secours mutuelle des Alsaciens-Lorrains. Il en sera le secrétaire général jusqu’à son décès en 1919. Parallèlement, il élargit ses centres d’intérêt à la sauvegarde de la mémoire des combattants de 1870. À cette date, cette sauvegarde est assurée par deux structures, l’État, qui par la loi du 4 avril 1873 a encadré la création d’ossuaires et de tombes, et une association catholique « l’Œuvre des tombes et des prières ». Créée par le père Joseph, cette association construit des monuments et des stèles en Allemagne pour sauvegarder la mémoire des prisonniers de guerre français et en France, en particulier en Alsace Moselle et dans la région parisienne. Elle organise de nombreuses messes en hommage aux combattants. Entre les gouvernements républicains et l’Œuvre, les relations vont se tendre dans un contexte de mésentente entre l’Église et la République. 1900 —Le Souvenir Français regroupe 80 000 adhérents dans 854 comités cantonaux. La création de monuments, de stèles et de plaques se multiplie et l'on estime à 2000 le nombre de lieux matérialisés par l’association.Le Souvenir Français crée les premiers monuments en hommage aux « grognards » de l’Empire à Waterloo et en Russie et participe à la réalisation du monument consacré à Vercingétorix à Alise-Sainte-Reine ainsi qu'a des centaines de monuments en hommage aux combattants de 1870. De sa création et jusqu’en en 1914, l’association connaît un formidable développement.Le Souvenir Français s’impose comme l’acteur principal de la vie commémorative, aux côtes des amicales régimentaires et des premières associations de vétérans. Les couronnes en perle du Souvenir Français ornent les monuments des combattants de 1870 dont l’association a encouragé l’érection en soutenant le vote de la loi de 1890 qui a confié aux communes la responsabilité de ces créations. 1906 —les relations entre le gouvernement et Le Souvenir Français s’approfondissent.Le Souvenir Français est reconnu d’utilité publique. La même année, le général Picart, ministre de la guerre du gouvernement Clemenceau réunit à Paris, François-Xavier Niessen et Auguste Spinner afin de favoriser la création de comités du Souvenir Français en Alsace-Moselle. Avec l’accord des autorités allemandes, Le Souvenir Français « prend pied » dans les territoires annexés.Un homme, Jean-Pierre Jean, incarne cette politique qui va connaître son point d’orgue le 4 octobre 1908 lors de l’inauguration du monument de Noisseville et le 17 octobre 1909 lors de l’inauguration de celui de Wissembourg. L’intense activité « pro-française » que révèlent ces deux cérémonies inquiète les autorités allemandes confrontées au développement de « l’esprit de Revanche ».En janvier 1913, Le Souvenir Français est interdit en Alsace-Moselle quelques mois avant l’éclatement de la Première Guerre mondiale.Pendant cinq années, Le Souvenir Français est dans l’impossibilité d’accéder aux tombes des combattants sur les champs de bataille. Les comités s’investissent dans l’organisation de cérémonies dans tous les cimetières communaux autour de la Toussaint et lancent la création d’associations relais tant pour aider les familles endeuillées, que pour fleurir les tombes des combattants morts dans les hôpitaux de l’arrière. C’est à l’occasion de l’une de ces cérémonies que Francis Simon demande au gouvernement le transfert d’un Soldat Inconnu au Panthéon.La victoire de 1918 rend accessible les tombes des combattants. Les comités du Souvenir Français y apposent alors des cocardes tricolores qui permettent à ces tombes provisoires de s’inscrire pleinement dans l’histoire nationale… 1918—1939 — Le Souvenir Français voit l'émergence de trois acteurs mémoriels Le Souvenir Français est créé en 1887 par François-Xavier Niessen. Originaire d’Alsace, François-Xavier Niessen s’est installé à Neuilly-sur-Seine quelques années avant la guerre de 1870. Il y exerce la profession de précepteur. Il reste très lié à la communauté alsacienne lorraine qui se développe de manière très importante après 1871 à Paris.Il crée en 1873 la Société de prévoyance et de secours mutuelle des Alsaciens-Lorrains. Il en sera le secrétaire général jusqu’à son décès en 1919. Parallèlement, il élargit ses centres d’intérêt à la sauvegarde de la mémoire des combattants de 1870.À cette date, cette sauvegarde est assurée par deux structures, l’État, qui par la loi du 4 avril 1873 a encadré la création d’ossuaires et de tombes, et une association catholique « l’Œuvre des tombes et des prières ». Créée par le père Joseph, cette association construit des monuments et des stèles en Allemagne pour sauvegarder la mémoire des prisonniers de guerre français et en France, en particulier en Alsace Moselle et dans la région parisienne. Elle organise de nombreuses messes en hommage aux combattants[/b].Entre les gouvernements républicains et l’Œuvre, les relations vont se tendre dans un contexte de mésentente entre l’Église et la République. En 1918, la question de l’inhumation des «Mort pour le France» s’impose de manière massive. 1 million 400 000 morts sont à gérer. Trois problèmes sont à régler : la recherche des corps, le choix des lieux d’inhumation et la définition d’une symbolique funéraire.Une commission, placée sous la présidence du général de Castelnau est créée. Elle accorde la possibilité de restituer les corps des combattants aux familles tout en développant une communication active en faveur de la création de grandes nécropoles militaires nationales. Une homogénéisation de ces nécropoles est réalisée pour les stèles (la stèle cruciforme s’impose) et pour l’aménagement (entrée, allée, fleurissement).Alors que 300 000 corps de combattants ne sont pas retrouvés, 700 000 combattants sont inhumés dans les nécropoles nationales, et 350 000 corps sont restitués aux familles. Pour mener à bien ces actions, l’État crée le ministère des pensions dans lequel est intégré le service national des sépultures. Un corps de fonctionnaires de gardiens de cimetières est créé.Exclus de la gestion de ces nécropoles nationales, les comités du Souvenir Français se rapprochent des nombreuses municipalités qui créent des carrés militaires. Les communes —Les communes s’imposent comme des acteurs de mémoire essentiels au cours de la Grande Guerre. Dès l’année 1915, certaines municipalités prennent l’initiative d’ériger des monuments afin d’y inscrire la liste des « enfants de la commune » « Mort pour le France ». En 1918, ces créations se multiplient. En quelques années, plus de 30 000 monuments sont érigés dans les communes de France. Le monument aux Morts devient le lieu d’expression de la vie civique et patriotique de chaque ville et village. Parallèlement, les municipalités favorisent l’apposition de plaques et l’organisation de cérémonies. Les associations d’anciens combattants et victimes de guerre sont leur principal partenaire. Les associations d’anciens combattant et victimes de guerre —Si la guerre de 1870/1871 n’a donné naissance qu’à un faible réseau associatif, il n’en est pas de même au lendemain de la Grande Guerre.C’est par centaines que se créent des associations nationales qui regroupent les combattants par type de champs de bataille (Verdun, la Marne, la Champagne…), par types de blessures (de la face, des yeux, des poumons…), par types d’entreprises dans lesquelles se retrouvent les anciens (SNCF, électricité, audiovisuel…), par type de nationalités d’origine (arméniens, polonais, tchécoslovaques…), par types d’armées (gendarmerie, infanterie, cavalerie…) Ce réseau est complété par quelques grandes associations. De 1945 à 1962 —Toujours mobilisés, les adhérents du Souvenir Français prennent en charge les tombes des combattants des nouvelles générations dans les carrés militaires mixtes, en particulier celles des résistants et des combattants de la Bataille de France, participent à la création de nouveaux monuments, stèles et plaques et sont présents aux cérémonies organisées dans le cadre des nouvelles journées commémoratives nationales.Le Souvenir Français connaît cependant de fortes évolutions internes au lendemain des décolonisations. Alors qu’il était implanté dans toutes les colonies françaises et en particulier dans les trois pays du Maghreb, Le Souvenir Français se replie en abandonnant sur place de nombreuses tombes de « Mort pour le France ». Un logo, une devise À nous le souvenir, à eux l’immortalitéLes trois couleurs pour l’engagement national La Marianne et la république L’arc de triomphe pour l’engagement mémoriel La flamme pour la transmission mémoriellee. Une Cocarde En 1916, est crée avec l’aide du Souvenir Français une association « l’œuvre de la reconnaissance des tombes des militaires et marins pour la Patrie » dénommée la cocarde du souvenir dont l’objectif est d’apposer une cocarde tricolore sur chaque tombe de combattant.En 1923, l’association fusionne avec le Souvenir Français qui prend à sa charge l’apposition des cocardes sur les tombes des combattants morts pour la France. À lire sur le site Interview de Michel Flahaut, délégué général du Souvenir Français (74) Délégation générale de la Haute-Savoie La cocarde du Souvenir Français Acheter la cocarde officielle du Souvenir Français
1887 —Le Souvenir Français est créé en 1887 par François-Xavier Niessen.Originaire d’Alsace, François-Xavier Niessen s’est installé à Neuilly-sur-Seine quelques années avant la guerre de 1870. Il y exerce la profession de précepteur. Il reste très lié à la communauté alsacienne lorraine qui se développe de manière très importante après 1871 à Paris. Il crée en 1873 la Société de prévoyance et de secours mutuelle des Alsaciens-Lorrains. Il en sera le secrétaire général jusqu’à son décès en 1919. Parallèlement, il élargit ses centres d’intérêt à la sauvegarde de la mémoire des combattants de 1870. À cette date, cette sauvegarde est assurée par deux structures, l’État, qui par la loi du 4 avril 1873 a encadré la création d’ossuaires et de tombes, et une association catholique « l’Œuvre des tombes et des prières ». Créée par le père Joseph, cette association construit des monuments et des stèles en Allemagne pour sauvegarder la mémoire des prisonniers de guerre français et en France, en particulier en Alsace Moselle et dans la région parisienne. Elle organise de nombreuses messes en hommage aux combattants. Entre les gouvernements républicains et l’Œuvre, les relations vont se tendre dans un contexte de mésentente entre l’Église et la République. 1900 —Le Souvenir Français regroupe 80 000 adhérents dans 854 comités cantonaux. La création de monuments, de stèles et de plaques se multiplie et l'on estime à 2000 le nombre de lieux matérialisés par l’association.Le Souvenir Français crée les premiers monuments en hommage aux « grognards » de l’Empire à Waterloo et en Russie et participe à la réalisation du monument consacré à Vercingétorix à Alise-Sainte-Reine ainsi qu'a des centaines de monuments en hommage aux combattants de 1870. De sa création et jusqu’en en 1914, l’association connaît un formidable développement.Le Souvenir Français s’impose comme l’acteur principal de la vie commémorative, aux côtes des amicales régimentaires et des premières associations de vétérans. Les couronnes en perle du Souvenir Français ornent les monuments des combattants de 1870 dont l’association a encouragé l’érection en soutenant le vote de la loi de 1890 qui a confié aux communes la responsabilité de ces créations. 1906 —les relations entre le gouvernement et Le Souvenir Français s’approfondissent.Le Souvenir Français est reconnu d’utilité publique. La même année, le général Picart, ministre de la guerre du gouvernement Clemenceau réunit à Paris, François-Xavier Niessen et Auguste Spinner afin de favoriser la création de comités du Souvenir Français en Alsace-Moselle. Avec l’accord des autorités allemandes, Le Souvenir Français « prend pied » dans les territoires annexés.Un homme, Jean-Pierre Jean, incarne cette politique qui va connaître son point d’orgue le 4 octobre 1908 lors de l’inauguration du monument de Noisseville et le 17 octobre 1909 lors de l’inauguration de celui de Wissembourg. L’intense activité « pro-française » que révèlent ces deux cérémonies inquiète les autorités allemandes confrontées au développement de « l’esprit de Revanche ».En janvier 1913, Le Souvenir Français est interdit en Alsace-Moselle quelques mois avant l’éclatement de la Première Guerre mondiale.Pendant cinq années, Le Souvenir Français est dans l’impossibilité d’accéder aux tombes des combattants sur les champs de bataille. Les comités s’investissent dans l’organisation de cérémonies dans tous les cimetières communaux autour de la Toussaint et lancent la création d’associations relais tant pour aider les familles endeuillées, que pour fleurir les tombes des combattants morts dans les hôpitaux de l’arrière. C’est à l’occasion de l’une de ces cérémonies que Francis Simon demande au gouvernement le transfert d’un Soldat Inconnu au Panthéon.La victoire de 1918 rend accessible les tombes des combattants. Les comités du Souvenir Français y apposent alors des cocardes tricolores qui permettent à ces tombes provisoires de s’inscrire pleinement dans l’histoire nationale…
Le Souvenir Français est créé en 1887 par François-Xavier Niessen. Originaire d’Alsace, François-Xavier Niessen s’est installé à Neuilly-sur-Seine quelques années avant la guerre de 1870. Il y exerce la profession de précepteur. Il reste très lié à la communauté alsacienne lorraine qui se développe de manière très importante après 1871 à Paris.Il crée en 1873 la Société de prévoyance et de secours mutuelle des Alsaciens-Lorrains. Il en sera le secrétaire général jusqu’à son décès en 1919. Parallèlement, il élargit ses centres d’intérêt à la sauvegarde de la mémoire des combattants de 1870.À cette date, cette sauvegarde est assurée par deux structures, l’État, qui par la loi du 4 avril 1873 a encadré la création d’ossuaires et de tombes, et une association catholique « l’Œuvre des tombes et des prières ». Créée par le père Joseph, cette association construit des monuments et des stèles en Allemagne pour sauvegarder la mémoire des prisonniers de guerre français et en France, en particulier en Alsace Moselle et dans la région parisienne. Elle organise de nombreuses messes en hommage aux combattants[/b].Entre les gouvernements républicains et l’Œuvre, les relations vont se tendre dans un contexte de mésentente entre l’Église et la République. En 1918, la question de l’inhumation des «Mort pour le France» s’impose de manière massive. 1 million 400 000 morts sont à gérer. Trois problèmes sont à régler : la recherche des corps, le choix des lieux d’inhumation et la définition d’une symbolique funéraire.Une commission, placée sous la présidence du général de Castelnau est créée. Elle accorde la possibilité de restituer les corps des combattants aux familles tout en développant une communication active en faveur de la création de grandes nécropoles militaires nationales. Une homogénéisation de ces nécropoles est réalisée pour les stèles (la stèle cruciforme s’impose) et pour l’aménagement (entrée, allée, fleurissement).Alors que 300 000 corps de combattants ne sont pas retrouvés, 700 000 combattants sont inhumés dans les nécropoles nationales, et 350 000 corps sont restitués aux familles. Pour mener à bien ces actions, l’État crée le ministère des pensions dans lequel est intégré le service national des sépultures. Un corps de fonctionnaires de gardiens de cimetières est créé.Exclus de la gestion de ces nécropoles nationales, les comités du Souvenir Français se rapprochent des nombreuses municipalités qui créent des carrés militaires. Les communes —Les communes s’imposent comme des acteurs de mémoire essentiels au cours de la Grande Guerre. Dès l’année 1915, certaines municipalités prennent l’initiative d’ériger des monuments afin d’y inscrire la liste des « enfants de la commune » « Mort pour le France ». En 1918, ces créations se multiplient. En quelques années, plus de 30 000 monuments sont érigés dans les communes de France. Le monument aux Morts devient le lieu d’expression de la vie civique et patriotique de chaque ville et village. Parallèlement, les municipalités favorisent l’apposition de plaques et l’organisation de cérémonies. Les associations d’anciens combattants et victimes de guerre sont leur principal partenaire. Les associations d’anciens combattant et victimes de guerre —Si la guerre de 1870/1871 n’a donné naissance qu’à un faible réseau associatif, il n’en est pas de même au lendemain de la Grande Guerre.C’est par centaines que se créent des associations nationales qui regroupent les combattants par type de champs de bataille (Verdun, la Marne, la Champagne…), par types de blessures (de la face, des yeux, des poumons…), par types d’entreprises dans lesquelles se retrouvent les anciens (SNCF, électricité, audiovisuel…), par type de nationalités d’origine (arméniens, polonais, tchécoslovaques…), par types d’armées (gendarmerie, infanterie, cavalerie…) Ce réseau est complété par quelques grandes associations.
Toujours mobilisés, les adhérents du Souvenir Français prennent en charge les tombes des combattants des nouvelles générations dans les carrés militaires mixtes, en particulier celles des résistants et des combattants de la Bataille de France, participent à la création de nouveaux monuments, stèles et plaques et sont présents aux cérémonies organisées dans le cadre des nouvelles journées commémoratives nationales.Le Souvenir Français connaît cependant de fortes évolutions internes au lendemain des décolonisations. Alors qu’il était implanté dans toutes les colonies françaises et en particulier dans les trois pays du Maghreb, Le Souvenir Français se replie en abandonnant sur place de nombreuses tombes de « Mort pour le France ».
Interview de Michel Flahaut, délégué général du Souvenir Français (74) Délégation générale de la Haute-Savoie La cocarde du Souvenir Français Acheter la cocarde officielle du Souvenir Français
Le Souvenir Français œuvre pour que vive la mémoire de notre Nation au travers de trois grandes actions :1La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.2Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.3Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.Pour atteindre ces objectifs,nous avons besoin de vous !