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Cette ambition répond elle aussi à deux défis. Le premier est lié aux journées nationales commémoratives. L’État a créé massivement des journées commémoratives nationales combattantes à la demande d’associations d’anciens combattants et d’associations communautaires.
Si cinq journées ont été créées entre 1919 et 1954, huit l’ont été de 1993 et 2019. Ces journées commémoratives nationales rassemblent essentiellement ceux qui sont liés par leur histoire personnelle à l’événement commémoré.
Or, le nombre de ces témoins (résistants, déportés, combattant d’Indochine, combattants d’Algérie…) diminuent. La question du maintien d’un calendrier commémoratif national aussi dense est aujourd’hui posée.
Toujours mobilisés pour ces cérémonies, les adhérents du Souvenir Français (et les porte-drapeaux de l’association) se concentrent particulièrement sur les journées du 8 mai, du 14 juillet, du 11 novembre et sur les cérémonies du 1er novembre.
À lire sur le site
La sauvegarde de la totalité des tombes des combattants Morts pour la France et éviter que tous les jours les restes de combattants rejoignent les fosses communes municipales suite à des sépultures tombées en déshérence.
Le maintien des cérémonies patriotiques locales aux coté des grand date nationale et ce,bien que le nombre d’anciens combattants diminuent chaque année.
Le développement des voyages mémoriels afin qu’aucun enfant de France ne quitte sa scolarité sans avoir découvert un lieu de notre mémoire nationale ou participer à une commémoration.